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Photo du rédacteurMiya Mywave

PHOTO REPORT - Pause Guitare 2024

Dernière mise à jour : 18 août

Mardi, nous avons débuté cette nouvelle édition du monumental événement albigeois auprès de la merveilleuse Fatoumata Diawara, avec un set plus épuré que ce à quoi nous nous attendions, mais toujours aussi chaleureux et dansant, empli de poésie colorée portée par la langue Wassoulou. Heureux d'avoir enfin pu la découvrir sur scène, nous sommes curieux de la redécouvrir sur un set plus traditionnel !


Cet univers ensoleillé fut précédé par Ben Herbert Larue. Gagnant du prix Magyd Cherfi de l'an passé, ses textes poétiques et la lumière scénique nous ont emporté dans une ambiance lunaire et marine.


 

Jeudi soir, Deluxe, que nous attendions depuis la précédente édition pour faute de mauvaises conditions météo, a enfin pu nous offrir un live digne de ce nom ! Coloré et électrique, swing et dansant, le groupe originaire d'Aix-en-Provence à su charmer Pratgraussals à l’unanimité. On les aime à Albi !


Puis, en suivant, le mythique groupe marseillais IAM a emplit la plaine de nostalgies vibrantes, unissant les cœurs autour de paroles et de valeurs toujours d'actualité.


Le groupe anglais Archive a changé radicalement l'ambiance de ce jeudi soir avec un rock alternatif planant, à la Radiohead (d'après moi), nous emportant dans un univers plus profond et hypnotisant. L'ambiance est clairement plus sombre mais agrémentée de subtils jeux de lumières brumeuses tombantes sur les épaules des musiciens. Un moment de pause dans le temps, mais que c'est bon !


 

Vendredi, nous étions ailleurs !


 


Surprise pour l'ouverture de la soirée du samedi avec le rappeur français Georgio. Une énergie puissante, autant dans la voix que dans ses textes mélancolique, qui a su emporter le public dans son passage. Le tout accompagné d'une batterie et d'une guitare ... tout ce qu'on aime.


Ce soir-là, Louise Attaque a réuni de nombreuses générations avec l'interprétation intégrale de son tout premier album au nom homonyme, faisant chanter à l'unisson (et danser au rythme effréné du violon du prodigieux Arnaud Samuel) l'ensemble du public, qui n'oubliera pas cette belle soirée albigeoise ...


Puis notre coup de cœur du festival : La Brigade du Kif sur la scène découverte "Chez Pollux Asso". Un rock alternatif/punk, sur une scène très proche du public. Le crash est serré, les musiciens jouent avec les photographes et le public, dans une énergie explosive et déjantée ... sous la pluie. Tout est dit !


 

Cette année encore, la programmation du dimanche soir nous en a mis plein les yeux et les oreilles, avec une scène rock internationale et expérimentée, en commençant par Dyonisos. Habitué de la scène de Pause Guitare, le groupe a, comme toujours, réussi à enflammer le public ... Et ce n'est pas un Mathias Malzieu cloué sur son fauteuil roulant qui allait les refroidir ! Fauteuil roulant qui, notons-le, a été customisé au thème de leur titre "Giant Jack", nous emmenant d'avantage dans leur univers.


Quant à Simple Minds, le groupe nous a offert un moment nostalgie made in britain, dont on a ressenti l'expérience de la scène. Certes, le public était majoritairement plus âgé que les précédentes soirées, mais il n'ayant rien à envier aux plus jeunes, chantant à tue-tête, téléphones en main pour capturer ce moment hors du temps.


Toujours dans la langue de Shakespeare, mais cette fois-ci de l'autre côté de l'Atlantique, avec GOSSIP et sa charismatique chanteuse Beth Ditto. Toute de noir vêtue, une chevelure rouge flamboyante à l'image de sa voix claire et puissante, la diva est authentique : c'est avec légèreté et humour qu'elle échange avec son public, n'oubliant pas d'applaudir les résultats de nos élections européennes.


Enfin, Alice Cooper. Un monstre de scène, dont la performance n'est plus à prouver après 50 ans de carrière, seulement à voir et à vivre. Un show à l'américaine, chorégraphié au millimètre près dans un décor digne d'une comédie musicale géante. Les maquillages, les costumes, le jeu d'acteur des musiciens, tout y est ; à ajouter à cela la performance musicale des musiciens. Chaque changement de morceau est un happening, on ne sait jamais à quoi s'attendre. En sommes, un final sur les chapeaux de roues, qui nous à laissé le souffle coupé.





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